Webinar ComeBack

Et si la production par IA respectait (vraiment) votre marque ?

Publié le 13 octobre 2025

Le dilemme qui freine votre marque

L’IA générative apporte un gain de vélocité, mais produit souvent des résultats incohérents. Si vous travaillez dans le marketing ou pour de grandes marques, vous pouvez le constater : la demande d’images et de vidéos pour vos filiales, vos campagnes publicitaires ou votre site e-commerce ne cesse de croître. Cependant, chaque asset généré par l’IA doit être vérifié, corrigé et validé manuellement.

Résultat : vous vous retrouvez à arbitrer entre la cadence de production et le respect strict de votre charte graphique. Vous perdez des heures précieuses à corriger des erreurs d’alignement ou de chromie que l’IA semble ne jamais comprendre.

La solution est dans le contrôle

Durant ce webinar de 30 minutes, Nicolas Gautier (Directeur de l’agence Nouvelle Vague) vous montrera comment allier rapidité et cohérence grâce à La Borne – une plateforme qui respecte votre charte graphique rigoureusement grâce à un agent IA sur mesure. Cet agent comprend et respecte l’identité visuelle de votre entreprise, jusqu’au moindre pixel.

Ce que vous allez maîtriser en 30 minutes :

  • Générer des visuels IA conformes à votre identité de marque sans passer par des corrections manuelles.
  • Industrialiser les déclinaisons d’images et de vidéos pour tous vos plans d’action (publicité, réseaux sociaux, e-commerce…).
  • Maîtriser le workflow complet (DAM intégré, gestion des versions, validations claires) et assurer une conformité data et juridique totale.

Réservez votre place dès maintenant et transformez votre production créative !

Formulaire d’inscription


Pas disponible le 13 novembre ? Inscrivez-vous pour recevoir le replay.

 

Nous avons hâte de vous retrouver lors de ce webinar !
L’équipe ComeBack

L’agence Comeback obtient le niveau “confirmé” du label Engagé RSE d’AFNOR Certification.

L’agence ComeBack certifiée “Engagé RSE”

Publié le 18 septembre 2025

C’est officiel : l’agence de production ComeBack vient d’être certifiée “Engagé RSE” et “Responsibility Europe” par l’AFNOR. Deux labels forts et reconnus à l’international qui démontrent :

  • la maturité et la performance de notre démarche RSE, et c’est un organisme tiers de confiance qui l’atteste : l’AFNOR. 
  • l’intégration des Objectifs de Développement Durable (ODD) et des recommandations de la norme de référence ISO 26000.

Cette distinction, attribuée après un audit exigeant, confirme la solidité et la maturité de notre démarche RSE. Maintenant commence le plus palpitant : le suivi et l’amélioration de notre trajectoire !

Alors, pourquoi avoir choisi le label ? Quelle est notre feuille de route ? Dans cet article, on vous explique comment l’agence de communication ComeBack est devenue “Engagée RSE”.

Le label “engagé RSE”, d’abord, qu’est-ce que c’est ?

Le label Engagé RSE est un dispositif mis en place par l’AFNOR pour valoriser les entreprises qui intègrent les enjeux sociaux, environnementaux et de gouvernance dans leur stratégie. Il repose sur le référentiel international ISO 26000, qui définit la responsabilité sociétale comme « la responsabilité d’une organisation vis-à-vis des impacts de ses décisions et de ses activités sur la société et l’environnement ».

Il existe 4 niveaux de maturité : initial, progression, confirmé, et exemplaire. Le niveau confirmé, obtenu par ComeBack, atteste que la démarche est pleinement intégrée dans le fonctionnement de l’agence, avec des résultats tangibles et partagés.

Une reconnaissance exigeante, motivante et stratégique

Pour décrocher cette certification, ComeBack a dû se soumettre à un audit approfondi mené par un évaluateur indépendant (OTI). Une évaluation exigeante, qui a mobilisé toutes les parties prenantes et qui s’appuie sur :

  • des entretiens avec les collaborateurs, clients et partenaires pour mesurer la perception et l’implication de chacun ;
  • l’analyse des pratiques de gouvernance et de transparence ;
  • l’évaluation des performances environnementales, notamment dans la conception et la production des supports de PLV ;
  • la prise en compte de l’ancrage territorial et des relations avec les acteurs locaux ;
  • la mesure des impacts positifs et négatifs sur la chaîne de valeur.

À l’issue de l’évaluation, un rapport complet ainsi que le label sont délivrés pour 3 ans. L’agence est ensuite challengée pour l’inciter à s’améliorer, puisqu’une réévaluation aura lieu dans 18 mois.

La RSE, une aventure avant tout collective

L’obtention du niveau confirmé est le fruit d’un travail collectif. Tous les collaborateurs de ComeBack ont été impliqués, directement ou indirectement, dans cette démarche. Cette reconnaissance reflète l’engagement quotidien des équipes en faveur d’une production plus responsable. Elle vient couronner plusieurs années d’initiatives déployées par ComeBack pour aligner son activité avec les enjeux de développement durable et plus spécialement : réduire l’impact environnemental de la production, favoriser l’éco-conception, promouvoir le bien-être au travail ou encore soutenir l’économie locale.

Ce que cela signifie pour ComeBack

Pour l’agence ComeBack, obtenir le label Engagé RSE – niveau confirmé, c’est :

  • Faire reconnaître sa stratégie RSE par un expert tiers.
  • Donner du sens à ses actions internes et en renforcer la mobilisation.
  • Passer d’une démarche volontaire à une démarche certifiée, davantage formalisée et valorisante pour l’ensemble de ses parties prenantes.
  • Inspirer ses clients, en produisant de manière responsable, avec exigence et créativité.

Et après ? Une démarche d’amélioration continue

La labellisation Engage RSE est une étape importante, mais non une finalité. Elle permet à l’agence d’enrichir sa feuille de route avec des objectifs, des ambitions, un plan d’actions et des indicateurs de pilotage. Elle donne un cap, une grille de lecture afin de réinventer le modèle de l’agence et la pratique de nos métiers. 

Cette logique d’amélioration continue est au cœur de la démarche RSE : progresser étape par étape, avec ambition et transparence. Pour ComeBack, les prochains axes de travail s’articulent autour de : l’amélioration des pratiques quotidiennes, l’implication des parties prenantes (clients, fournisseurs…), l’accélération de l’innovation durable et la valorisation des impacts positifs.

Ce que cela change pour nos clients

Au-delà d’une reconnaissance institutionnelle, pour nos clients, cette certification est un gage de sérieux, de transparence et de robustesse. Dans un contexte où les marques doivent prouver la sincérité de leur démarche, s’associer à un prestataire labellisé envoie un signal fort.

Travailler avec une agence labellisée “Engagé RSE” – niveau confirmé comme ComeBack vous garantit :

  • Une production alignée avec les valeurs RSE : choisir ComeBack, c’est opter pour une agence de communication engagée.  
  • Une traçabilité renforcée : chaque projet est pensé pour minimiser son empreinte carbone et optimiser la gestion des ressources.
  • Une crédibilité accrue : collaborer avec une agence évaluée par un tiers, c’est aussi renforcer la légitimité de ses propres engagements RSE.

En résumé

ComeBack, agence de production engagée pour une communication responsable, franchit une étape majeure avec l’obtention du label Engagé RSE – niveau confirmé de l’AFNOR. Cette certification souligne la solidité de notre démarche, valorise nos pratiques et renforce notre légitimité auprès de nos clients et partenaires. Mais surtout, elle marque le début d’un nouveau chapitre : celui d’une RSE intégrée, visible et créatrice de valeur partagée.

Source

https://certification.afnor.org/en/sustainable-development-csr/corporate-social-responsibility-commitment

Article ComeBAck : Score PLV - l’indicateur qui valorise les PLV durables.

Score PLV : l’indicateur qui valorise les PLV durables

Publié le 15 juillet 2025

La Publicité sur Lieu de Vente (PLV) fait face aujourd’hui à un défi environnemental majeur. Trop souvent, les supports de PLV éphémères ou semi-permanentes suivent un modèle linéaire (produire, utiliser, jeter) générant d’importants volumes de déchets.

Selon les données de Shop! le salon, on estime que chaque année environ 100 000 tonnes de déchets proviennent des PLV en Europe, dont la grande majorité n’est pas recyclée​. Ainsi, plus de 80 % des PLV finissent incinérées en fin de vie (hors carton)​. Face à ce constat, l’heure est à l’économie circulaire et à l’éco-conception. Les marques intègrent de plus en plus des objectifs de RSE, cherchant des solutions pour rendre leurs campagnes marketing plus durables. C’est dans ce contexte qu’émerge le Score PLV, un nouvel outil conçu pour guider le secteur vers des pratiques plus responsables.

Critères d’évaluation et méthodologie

Pour évaluer le niveau de circularité d’un présentoir ou d’une PLV, le Score PLV s’appuie sur une grille multicritère couvrant tout le cycle de vie du support. Six grands critères d’évaluation ont été définis (source : Société des Grands Projets) :

 

  • Sourcing des matériaux : origine et nature des matières premières utilisées (par exemple, part de matières recyclées ou renouvelables) et impact de leur extraction/production.
  • Design & éco-conception : efforts d’éco-conception intégrés dès la phase de conception du support (modularité, réutilisabilité, limitation des composants superflus, etc.).
  • Fabrication : lieu de fabrication et certifications environnementales du fabricant (afin de privilégier des productions locales ou certifiées réduit l’empreinte écologique).
  • Livraison : distance de transport et modes de livraison jusqu’au lieu de déploiement (pour optimiser la logistique pour réduire les émissions de CO₂).
  • Utilisation : durée de vie du support en point de vente, possibilités de réutilisation sur plusieurs opérations, adéquation avec les usages pour éviter le surdimensionné ou le jetable.
  • Fin de vie & recyclage : recyclabilité technique des matériaux en fin d’usage, existence de filières de recyclage ou de programmes de reprise (phase de valorisation des déchets, amenant une seconde vie éventuelle du support).

 

Chaque critère se voit attribuer une pondération dans le calcul final. L’outil, mis à disposition en open source, fonctionne via un questionnaire simple permettant de renseigner les données clés du projet PLV. En quelques clics, on obtient ainsi une note globale de A à E, claire et facilement compréhensible par tous les acteurs. Cette méthodologie simplifiée a été pensée pour être intégrée aisément dans le processus de création ou d’achat d’une PLV, sans expertise technique lourde. Elle reprend les principes fondamentaux de l’économie circulaire, en mettant l’accent sur les points d’impact majeurs spécifiques à la PLV​.

Les bénéfices du Score PLV pour les marques et enseignes

Pour les annonceurs (marques et enseignes de distribution), adopter le Score PLV présente de nombreux avantages concrets :

 

  • Orienter ses choix vers des supports responsables : le Score PLV offre un repère objectif pour sélectionner des PLV éco-conçues. En un coup d’œil, une marque peut privilégier un présentoir noté A ou B plutôt qu’un équivalent moins bien noté, afin de réduire l’empreinte environnementale de ses campagnes in-store.
  • Optimiser le reporting RSE : disposer d’une note de circularité pour chaque PLV facilite le suivi des engagements de communication responsable. Les marques peuvent intégrer ces scores dans leur reporting RSE, démontrant ainsi des progrès tangibles (ex: pourcentage de PLV notées A/B déployées sur l’année). Cela valorise la démarche environnementale auprès des parties prenantes internes et externes.
  • Valoriser son image de marque : en communiquant sur l’utilisation de supports durables, les entreprises renforcent leur image d’acteur responsable. Cette différenciation peut constituer un avantage concurrentiel, d’autant que les consommateurs y sont sensibles : 63 % des Français se disent réceptifs aux initiatives de PLV responsable, et près de la moitié privilégierait une marque qui adopte des supports éco-conçus plutôt qu’une autre (source : circul-r).
  • Encourager l’amélioration continue : le Score PLV incite un dialogue constructif avec les fournisseurs. Par exemple, une enseigne peut challenger son fabricant de PLV pour atteindre une meilleure note, ce qui pousse à innover (matériaux plus verts, conception optimisée) au bénéfice de tous. C’est un outil de décision et de pilotage qui inscrit l’éco-conception comme critère à part entière dès le brief créatif.

L’engagement de ComeBack autour du Score PLV

En tant qu’agence experte en PLV et communication imprimée, ComeBack s’est naturellement saisie du Score PLV pour accompagner ses clients vers des pratiques plus durables. Concrètement, notre démarche consiste à intégrer le Score PLV à chaque étape clé de vos projets marketing sur le lieu de vente :

 

  • Conseil en amont et évaluation : dès la phase de conception d’un dispositif in-store, nos experts vous guident dans le choix de solutions éco-responsables. Grâce à l’outil Score PLV, nous vous proposons d’évaluer le niveau de circularité prévisionnel de vos différentes options (matériaux envisagés, design du support, logistique…) pour orienter vos décisions. Cela permet d’écarter d’emblée les choix les moins vertueux et de privilégier des PLV alignées avec vos objectifs RSE.
  • Optimisation des projets PLV : nous travaillons main dans la main avec les fabricants pour améliorer continuellement le score de vos supports. Par exemple, si un présentoir obtient initialement une note “C”, nous identifions les leviers d’amélioration (matériau alternatif plus recyclable, conception modulable facilitant la réutilisation, optimisation du conditionnement et du transport, etc.) afin de tendre vers une note “B” ou “A”. Cette approche d’éco-conception proactive vous assure des supports performants sur le plan marketing et environnemental.
  • Reporting et valorisation : une fois vos PLV déployées, ComeBack vous aide à formaliser les résultats obtenus. Nous fournissons un bilan incluant le Score PLV de chaque support, utile pour votre reporting RSE et votre communication interne/externe. Vous pouvez ainsi valoriser concrètement vos actions (par ex. “100% de nos PLV de la campagne X sont notées A ou B selon le référentiel Score PLV”), renforçant la crédibilité de votre engagement durable auprès de vos clients, collaborateurs et partenaires.

 

Cette implication de ComeBack dans la démarche Score PLV s’inscrit dans une philosophie plus large de communication responsable : en sélectionnant des matériaux écoresponsables (papier certifié, encres écologiques, supports réutilisables), en engageant sur certains projets notre agence conseil Bee Happy, spécialisée en éco-socio-conception, pour une réflexion sur le design, et en encourageant des approches d’économie circulaire dans les projets de nos clients. Notre équipe se forme continuellement aux meilleures pratiques d’éco-conception PLV et reste en veille sur les avancées du secteur, afin de proposer à nos clients des solutions innovantes et durables sans compromettre l’impact visuel ni l’efficacité commerciale de leurs campagnes. En intégrant pleinement cet outil dans notre offre, nous aidons nos clients à concilier créativité, impact en point de vente et éco-responsabilité.

Prêts à insuffler une nouvelle dimension durable à vos opérations marketing in-store ? Contactez ComeBack dès aujourd’hui !

Le ComeBack Festival revient pour une quatrième édition le jeudi 26 juin 2025.

Quatrième édition du ComeBack Festival ! 🎉

Publié le 3 juillet 2025

Venez voir en live come on bosse !

Chers clients, 2025 aura accueilli la 4ème édition du ComeBack Festival, organisée et animée par nos équipes internes.

Nous avons eu le plaisir de vous retrouver dans nos bureaux de la Colline de Saint-Cloud pour une matinée de rencontres entre professionnels, riche en découvertes et en échanges, dans une ambiance détendue et conviviale. Un immense merci à la cinquantaine de participants qui se sont déplacés pour l’événement, qui a remporté un grand succès !

 

Trois conférences courtes et percutantes ont rythmé la matinée :

  • Création & Écodesign – Avoir de l’impact sans nuire à la planète
  • Borne IA – Comment passer de l’inspiration à l’exécution grâce à l’IA
  • Stop Pub – Une opportunité pour générer du trafic et des ventes

En parallèle des conférences, un showroom immersif autour du papier dans tous ses états a permis aux participants d’explorer les textures, formats, innovations et usages créatifs de ce matériau, afin de le redécouvrir sous un autre jour.

Place ensuite aux moments conviviaux avec un déjeuner en terrasse (et des foodtrucks gourmands), propice au networking en toute décontraction. Le soleil était au rendez-vous, offrant un cadre estival idéal avec vue sur Paris !

Nous remercions chaleureusement Loïc Verley (spécialiste en communication locale) et Arnaud Dubin (de Pub-Audit) pour leurs interventions percutantes lors de ce festival. Un grand merci également à Maison Miam, qui a régalé nos papilles avec un déjeuner plein de créativité.

Chez ComeBack, nous sommes convaincus que la communication peut être plus vertueuse, innovante et engagée. Nous sommes fiers d’en avoir fait la démonstration à vos côtés, sur le terrain. Les sourires, les échanges et les moments suspendus vécus au cours de la journée en sont la meilleure illustration. En somme, cette édition du ComeBack Festival fut bien plus qu’un événement professionnel : une parenthèse inspirante et profondément humaine.

Nous en garderons d’excellents souvenirs et avons déjà hâte de renouveller l’expérience. Rendez-vous donc l’année prochaine pour la 5ème édition du Festival ComeBack !

 

2025 aura accueilli la 4ème édition du ComeBack Festival, organisée et animée par nos équipes internes. 2025 aura accueilli la 4ème édition du ComeBack Festival, organisée et animée par nos équipes internes. 2025 aura accueilli la 4ème édition du ComeBack Festival, organisée et animée par nos équipes internes. 2025 aura accueilli la 4ème édition du ComeBack Festival, organisée et animée par nos équipes internes.

 

 

Article : les nouvelles exigences PEFC en vigueur.

[Label PEFC] De nouvelles exigences pour la gestion durable des forêts

Publié le 20 mai 2025

Depuis le 17 avril 2025, de nouveaux standards entrent en vigueur pour la certification PEFC en France et en Guyane. Ce sont plus de 100 exigences qui se traduisent par 31 engagements concrets que devront prendre les forestiers certifiés pour agir en faveur de la pérennité des forêts. Issue d’une large concertation, cette révision renforce les exigences en matière de gestion durable. Elle marque une étape importante dans la préservation des écosystèmes forestiers face aux défis environnementaux actuels. 

Concrètement, qu’est-ce que cela change pour la filière bois et papier ? Et pour les communicants ? Comme 3 300 entreprises en France et en Guyane, l’agence de communication ComeBack est certifiée PEFC. Elle fait donc partie des premiers concernés par ce nouveau référentiel, dont nous allons passer en revue les principales évolutions.

La certification PEFC, d’abord, qu’est-ce que c’est ?

En tant que communicant (responsable), vous connaissez forcément la certification PEFC. Ce signe de qualité environnementale fait partie des critères indispensables dans la sélection de vos supports de communication issus du bois, comme le papier graphique ou la PLV éco-conçue. Reconnaissable à son logo vert et à ses deux arbres, la certification PEFC atteste que la matière première de votre support est issue de forêts pérennes gérées durablement. Pour votre marque, c’est un gage de performance,  d’engagement et de traçabilité.

Une démarche d’amélioration continue

La certification PEFC s’inscrit dans une démarche d’amélioration continue. L’organisme révise régulièrement ses règles de gestion forestière durable et de chaîne de contrôle du bois PEFC, afin que les propriétaires forestiers, les intervenants en forêt et les entreprises de la filière bois-papier continuent de figurer parmi les plus grands alliés de la pérennité des forêts. L’idée étant de tenir compte des dernières connaissances scientifiques et des retours d’expérience du terrain pour adapter les pratiques forestières aux enjeux contemporains.

Les nouvelles exigences PEFC sont le résultat d’un travail collectif qui a associé plus de 100 parties prenantes concernées par la gestion des forêts françaises. Scientifiques, experts, associations, professionnels du secteur… Pendant plus d’un an, les membres du forum PEFC ont défini, en concertation, de nouveaux standards, qui intègrent également les exigences du Règlement européen contre la déforestation et la dégradation des forêts (RDUE).

Une révision qui répond aux enjeux climatiques

Cette révision répond à un double enjeu : environnemental et sociétal. Face à l’accélération du changement climatique et à la demande croissante des consommateurs en produits à base de bois, une mise à jour des standards PEFC était devenue nécessaire. 

 

« L’utilisation du bois, matériau renouvelable et puits de carbone naturel, s’impose comme une solution d’avenir, mais soulève aussi des questionnements sur la capacité de répondre à la demande tout en préservant nos forêts. La certification PEFC est essentielle pour attester d’une gestion et d’une exploitation forestières durables qui répondent aux enjeux d’aujourd’hui. En faisant évoluer nos exigences, nous agissons concrètement pour répondre aux défis climatiques. »

Christine de Neuville, présidente de PEFC France.

9 évolutions majeures pour une gestion plus durable

Parmi les 31 engagements prévus par le nouveau référentiel PEFC, neuf évolutions principales se distinguent par leur impact potentiel sur les pratiques forestières. 

 

  • L’une des mesures phares est l’interdiction totale de produits chimiques désherbants tels que le glyphosate, dont l’usage était déjà extrêmement limité dans les forêts certifiées PEFC.
  • La pratique des coupes rases est également mieux encadrée. Interdite dans les cœurs de parcs nationaux, les réserves naturelles ou biologiques, la taille autorisée est limitée à une certaine surface. Et tout dépassement devra être justifié par un diagnostic spécifique.
  • La notion de  “zones de sensibilité paysagère”, exemptes de coupes rases,  a été clarifiée. Elle désigne par exemple les zones visibles à moins de 300 m, peuplées d’arbres remarquables ou situées dans des sites classés.
  • La diversification des essences forestières est renforcée, car elle joue un rôle primordial dans la résilience des forêts face au changement climatique.
  • Pour contribuer à la restauration de l’équilibre forêt-faune, les forestiers doivent contrôler régulièrement l’état de la forêt et s’assurer de la cohérence des plans de chasse.
  • Le quota d’arbres vieux ou morts par hectare à conserver a été doublé, car ceux-ci participent au développement de la biodiversité, à la régénération de la forêt et à la fertilisation des sols.
  • Proscrite par principe dans les standards PEFC, la transformation des forêts naturelles en forêts plantées est redéfinie et régulée.
  • Autre changement significatif, l’introduction de Zones Forestières à Haute Valeur Écologique, dotées d’une forte biodiversité, qui nécessitent de mettre en place des mesures spécifiques pour les préserver.
  • Enfin, les espaces agroforestiers, c’est-à-dire tous les arbres d’une parcelle agricole, y compris ceux en périphérie ou isolés, sont désormais concernés par ces nouvelles règles.

Des outils et un accompagnement au changement

À partir de maintenant s’ouvre une période de transition qui s’achèvera le 26 septembre 2026. Le temps, pour les forestiers engagés dans la démarche, de s’adapter au nouveau référentiel PEFC. Pendant cette phase, ils bénéficieront de l’accompagnement des organisations locales pour les aider à ajuster leurs pratiques.

Conscient des défis que cela représente pour les professionnels du secteur, l’organisme a également développé plusieurs outils, comme une plaquette présentant les 9 évolutions principales et un site internet offrant une expérience immersive dans la forêt certifiée.

Quel label pour votre support de communication ?

Et voilà, vous savez tout sur les nouveaux standards de la certification PEFC. Si vous souhaitez plus d’informations sur les différents labels ou si vous vous demandez quel matériau est le plus durable pour votre prochain support de communication, n’hésitez pas à nous solliciter. Chez Comeback, l’éco-conception est au cœur de la production. Notre pôle fabrication et nos experts sauront vous éclairer sur le sujet et vous accompagner dans vos choix.

Sources

https://www.action-climatique.com/actualites/2025/04/les-nouvelles-normes-de-gestion-forestiere-durable-pefc-entrent-en-vigueur-en-france/

https://www.graphiline.com/article/49084/nouvelles-exigences-pefc-la-filiere-foret-bois-entre-dans-une-nouvelle-phase-de-transition?utm_source=Graphiline-Hebdo&utm_medium=email&utm_campaign=newsletter&utm_content=lien-article-texte

https://www.pefc-france.org/wp-content/uploads/PEFC_Nouveaux_standards.pdf

https://en-foret-certifiee.pefc-france.org/

https://www.pefc-france.org/entree-en-vigueur-des-nouveaux-standards-de-gestion-forestiere-durable-pefc-pour-la-france/

Après 2 ans d’expérimentation, le gouvernement met un terme au dispositif Oui Pub.

Le gouvernement dit “non” à Oui Pub

Publié le 29 avril 2025

C’est une bonne nouvelle pour la filière de la communication : le Ministère de la Transition écologique vient d’annoncer la fin du dispositif Oui Pub. Après 2 ans d’expérimentation dans 14 territoires volontaires, Oui Pub ne sera finalement pas généralisé. En l’absence d’une proposition de loi, c’est l’autocollant Stop Pub qui revient en application dès le 1er mai 2025, partout en France, même dans les zones pilotes.

Un rapport d’évaluation jugé “nuancé”

Mis en place dans le cadre de la loi Résilience et Climat, le dispositif Oui Pub avait pour but de réduire le gaspillage de papier et la publicité non désirée. Mais le Ministère de la transition écologique juge finalement l’expérimentation peu concluante

 

“Le rapport d’évaluation de l’expérimentation, transmis au Parlement fin 2024, dresse un retour nuancé et sans conclusion unanime sur les conséquences d’un passage du “Stop Pub” au “Oui pub” dans les territoires volontaires.”

👉Pour bien comprendre les conclusions de ce rapport, nous vous invitons à lire (et à relire) notre article sur le sujet.

Un véritable “bashing” du support papier

Monoprix, E.Leclerc,  Carrefour… Depuis l’expérimentation Oui Pub, et avec la flambée des coûts du papier, la plupart des annonceurs avaient fait une croix sur le catalogue papier et accéléré leur transition vers le digital. 

Si bien qu’en 2 ans, c’est toute une filière économique qui a été décimée, jusqu’à la liquidation de Milee, ex Adrexo (2 000 licenciements). Des acteurs économiques français, assurant des milliers d’emplois et payant leurs impôts en France. In fine, au profit des géants américains comme Google et Meta, qui sont apparus comme les principaux soutiens des réseaux, adhérents et franchisés.

Le prospectus n’a pas dit son dernier mot

Pourtant, à la fin de son rapport, l’Ademe met en doute le bien fondé de la transition vers le digital. “L’étude ne permet pas de conclure qu’un moindre recours au papier et un usage accru du numérique serait moins polluant.”

 

Chez ComeBack, nous sommes convaincus que le papier est un support responsable d’un point de vue RSE. 

Alors, réaffirmons-le :

📢Le mix média Papier & Digital est ROIste.

🧾Le papier est issu de filières gérées durablement depuis de nombreuses années.

♻️Les imprimeurs sont des acteurs engagés et des chefs d’entreprise produisant en France.

🙌Le papier se recycle jusqu’à 7 fois.

 

Et les consommateurs restent très attachés au média papier en boîte aux lettres (selon l’étude allemande Prospektmonitor d’IFH Media Analytics, 2024).

Et si on réinventait l’Imprimé Sans Adresse ?

Plus que jamais, dans un contexte économique difficile pour le commerce en France, l’Imprimé Sans Adresse (ISA) apparaît comme un axe de visibilité et de création de trafic à ré-activer. 

Vous souhaitez relancer votre catalogue papier ? Chez ComeBack, nous collaborons avec d’autres acteurs du secteur pour tester de nouvelles alternatives de distribution. Et nous sommes disposés à réétudier des approches de tests en A/B testing, ou à répondre aux challenges de vos zones géomarketing tant par nos expertises en contenus digitaux (Ads, emailing, SMS), que par les plis adressés ou les ISA. N’hésitez pas à contacter bguyot@comebackgraphic.com pour en discuter.

Sources

https://www.lsa-conso.fr/exclusif-prospectus-en-boite-aux-lettres-la-fin-du-test-oui-pub-va-donner-lieu-a-un-retour-au-stop-pub,460395 

https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/oui-pub-pourquoi-l-autocollant-sur-les-boites-aux-lettres-ne-sera-pas-generalise-malgre-l-experimentation-7900497624

https://www.graphiline.com/article/49051/ce-que-les-chiffres-2025-disent-du-poids-reel-des-prospectus-papier?utm_source=Graphiline-Hebdo&utm_medium=email&utm_campaign=newsletter&utm_content=lien-article-texte

Signalétique info-tri : en 2025, quelles sont vos obligations et comment l’apposer ?

Info-tri : comment concevoir votre signalétique

Publié le 16 avril 2025

Depuis 2022, la loi AGEC impose aux communicants d’apposer la signalétique info-tri sur tous les emballages et tous les papiers graphiques : journaux, notices, magazines, brochures, catalogues, mailings, etc… Validé par les pouvoirs publics, l’info-tri devient le marquage de référence obligatoire et un repère fort pour le consommateur. Le non-respect de cette loi peut entraîner des sanctions, comme une amende pouvant atteindre 15 000 € pour une personne morale. 

Quelles sont vos obligations en 2025 ? Comment construire votre signalétique info-tri ? Quels éléments de charte à respecter ? Dans cet article, nous vous proposons de faire le point sur la législation info-tri.

Informer le consommateur sur les bonnes pratiques

Composé du logo Triman et de la consigne de tri, le marquage info-tri a été conçu pour inciter les citoyens à jeter tous les emballages et imprimés dans le bac de tri, sans exception, qu’ils soient recyclables ou non. Le premier objectif est donc pédagogique : il s’agit d’informer le consommateur sur le bon geste de tri à effectuer. 

Car si le tri est une habitude pour près de 9 français sur 10, 59 % ont des doutes quand ils le font. Et 2 tiers d’entre eux déposent par erreur des objets en plastique dans le bac de tri jaune. Pour lever le doute, le gouvernement vient de lancer le 4e volet de la saga publicitaire “On ne lâche rien!”. Une campagne qui, à partir d’une question simple “C’est un emballage ou pas ?”, amène le citoyen à adopter le bon réflexe en matière de tri : “Si c’est oui, c’est dans le bac de tri.” 

54 kg d’emballages par habitant et par an échappent à la collecte sélective (selon Citéo)

Contribuer à créer de nouvelles filières de recyclage

Le second objectif de ce dispositif est plus large et plus stratégique. En systématisant le tri à tous les emballages et papiers graphiques, sans exception, l’idée est d’identifier les volumes de déchets collectés pour créer de nouvelles filières de recyclage, à long terme. 

Au-delà du fait que c’est obligatoire, apposer l’info-tri sur vos emballages et vos imprimés publicitaires est l’aboutissement d’une démarche, qui commence dès la conception de votre support. Encres végétales, papiers certifiés PEFC… À quoi bon intégrer les critères environnementaux dans la fabrication de votre création si vous ne vous souciez pas de sa fin de vie ? Avec la signalétique info-tri, vous lui donnez une seconde chance d’être recyclée. 

Maintenant que vous savez à quoi sert cette réglementation, voici comment vous y conformer.

Info-tri, mode d’emploi : comment l’apposer ?

Le marquage info-tri a été validé par les pouvoirs publics et il est protégé par une licence. Pour télécharger le kit, vous devez accepter au préalable les conditions générales d’utilisation et en respecter les termes. Il est composé de 4 éléments à associer : le triman + le cartouche + les éléments concernés + la destination.

Couleurs, typographies, formats et configurations, pictogrammes disponibles… Vous devez respecter les éléments de charte pour construire votre signalétique info-tri. N’hésitez pas à consulter le guide de l’Adelphe, il est très bien fait.

Les principales règles à respecter

  • Le logo triman ne signifie pas que le papier ou l’emballage est recyclable, mais il informe que celui-ci fait l’objet d’une règle de tri. Il est toujours représenté en noir ou, à défaut, dans la couleur choisie pour l’info-tri.
  • Le sigle FR, accolé au cartouche, est obligatoire dès lors que le produit est vendu en France et à l’étranger. Il indique au consommateur étranger que la règle de tri ne concerne que le territoire français.
  • L’accroche “Le tri plus facile” évoque le premier bénéfice consommateur : la simplification du geste de tri à tous les emballages et papiers. Elle est perçue positivement comme incitative.
  • Tout élément papier qui doit être dissocié ou extrait d’un emballage doit être mentionné dans l’info-tri. Ex : un courrier extrait d’une enveloppe ou la notice d’un emballage.
  • Pour représenter la forme de votre emballage, il est possible de créer une nouvelle silhouette (pictogramme), si celles proposées dans la charte ne correspondent pas.
  • La destination (bac de tri) peut être représentée sous 2 formes, au choix. Mais la représentation graphique des contenants ni les mentions ne peuvent en aucun cas être modifiées ou personnalisées.  

“Le tri plus facile” donne le sentiment à 1 consommateur sur 2 qu’il est plus facile de trier.

Les exceptions et cas particuliers

Sont exemptés de l’obligation d’apposer une signalétique de tri :

  • Les emballages de boisson en verre ;
  • Les emballages de moins de 10 cm2 (le plus grand côté ou surface globale) sans documentation associée. Sous réserve que les informations de recyclage soient disponibles en format dématérialisé.
  • Les papiers et emballages dont le format mesure entre 10 et 20 cm2, sans documentation associée. Ils doivent porter le Triman seul. Sous réserve que les informations de recyclage soient disponibles en format dématérialisé.

Les emballages cylindriques de type bouteilles, dont la surface du plus grand des côtés est inférieure à 20 cm2. La signalétique peut être totalement dématérialisée. Toutefois, si cette surface est comprise entre 20 et 40 cm2, le logo Triman est obligatoire.

L’obligation d’adhérer à un éco-organisme

Par ailleurs, les entreprises mettant sur le marché des emballages ménagers et des papiers graphiques sont responsables du financement et de l’organisation de leur fin de vie. C’est la Responsabilité élargie du producteur (REP), qui repose sur le principe “pollueur-payeur”. Elle se traduit par l’obligation de cotiser auprès d’un éco-organisme comme Citeo, Adelphe ou Leko. 

Tous les emballages et les papiers graphiques, y compris les suremballages, doivent être déclarés. Les tarifs de l’éco-contribution sont définis en fonction du volume mis sur la marché. À noter qu’en 2025, la REP s’élargit aux emballages professionnels. Même si en dessous de 5 tonnes, aucune contribution financière n’est demandée, tous les papiers graphiques sont soumis à la réglementation de l’info-tri.

FAQ : les réponses à vos questions sur info-tri

Peut-on apposer l’info-tri à l’intérieur de l’emballage ?

Non, l’info-tri doit obligatoirement se trouver sur l’emballage. Seule exception : le cas des petits emballages. 

 

Qu’entend-on par “papiers graphiques” ? 

Tous les papiers imprimés de moins de 224 g/m2, à destination du grand public ou des professionnels : carte com’, prospectus, flyer, catalogue, magazine, livre blanc… (liste non exhaustive) 

 

Faut-il déclarer une simple carte de visite ou un ticket de caisse ?

Il n’existe pas de volume minimum de papier concerné par la REP. Donc oui, dès le 1er papier mis sur le marché français, vous devez adhérer à Citéo, l’éco-organisme agréé par l’État. 

 

Dans un mailing composé d’une lettre, d’un flyer et d’une enveloppe, où doit-on apposer le marquage ? 

Même si ce n’est pas obligatoire, nous vous recommandons vivement d’apposer la signalétique info-tri sur chacun des éléments qui peuvent être séparés.

 

Peut-on créer une signalétique info-tri propre à sa marque ? 

Non, même si vous avez quelques libertés dans le choix des couleurs et des éléments, vous devez respecter la charte d’application info-tri. 

 

Que devient la mention “ne pas jeter sur la voie publique” ?

Cette mention n’est pas obligatoire, mais vous pouvez tout à fait la faire figurer sur votre support papier si vous la jugez pertinente. 

 

Que risque t’on si on oublie la signalétique info-tri ?

Vous risquez une amende administrative qui peut aller jusqu’à 3 000 € pour une personne physique et 15 000 € pour une personne morale.

Encore des interrogations sur l’info-tri ?

Et voilà, nous vous avons tout dit, ou presque, sur la réglementation info-tri et vos obligations en 2025. Si toutefois vous avez encore des doutes ou des questions, n’hésitez pas à nous les partager. Depuis la promulgation de la loi Agec, l’agence de production ComeBack vous accompagne dans la mise aux normes de vos emballages ainsi que de vos imprimés publicitaires. Notre pôle fabrication et nos experts RSE sont ravis de vous guider dans cette démarche !

Sources

https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000044244398

https://www.citeo.com/le-mag/qualite-du-tri-4eme-volet-de-la-saga-on-ne-lache-rien

https://www.adelphe.fr/sites/default/files/Documents/2024-04/adelphe_guide_info-tri_fr.pdf

https://www.citeo.com/le-mag/emballages-professionnels-citeo-pro-se-positionne-sur-cette-nouvelle-filiere-rep

Formulaire d'inscription Les Matinales 2025

Replay Les Matinales : les défis de l’IA pour la communication

Publié le 7 avril 2025

Bienvenue sur le formulaire d’inscription aux replays de notre événement : Les Matinales Afluens, 3ème édition !

Cette année, nous avons exploré la thématique : Créativité, innovation, RSE, juridique… Quels sont les grands défis de l’IA dans le secteur de la communication ?

Les conférences, co-organisées par les agences ComeBack et Bee Happy, se sont déroulées le 3 avril 2025, à La Pura Vida (Paris 6e). La matinée était axée sur le networking, les débats et les échanges en direct avec les intervenants.

Ce formulaire vous permet de voir ou de revoir ces conférences en replay.

N’hésitez pas à partager ce lien à votre entourage professionnel, les replays des conférences sont ouverts à tous les publics intéressés.

À très vite,

Les équipes ComeBack et Bee Happy

Formulaire de demande de replay


 

Nous vous proposons d’explorer, uns à uns, les principaux thèmes abordés :

IA et communication : révolution ou simple évolution ?

Avec l’avènement de l’IA, les géants de la Tech nous promettent une véritable révolution. Un changement plus profond que celui provoqué par la création de l’ordinateur selon Bill Gates, une technologie plus marquante que la découverte du feu ou de l’électricité selon le patron de Google, Sundar Pichai. Mais au-delà des promesses, quelles conséquences réelles sur nos métiers de communicants, notre environnement et la société en général ? 

Depuis quelques années, c’est un fait, l’IA est partout. Elle infuse nos métiers de la communication et du marketing, à commencer par ceux de la création. Elle nous libère de certaines tâches potentiellement fastidieuses, comme rédiger un mail, créer une présentation, traduire ou rédiger une note de synthèse. Elle permet aux créatifs et aux producteurs de créer des contenus plus rapidement. Surtout, elle nous permet d’aller beaucoup plus loin dans nos stratégies marketing, en analysant le comportement et les attentes des clients. Mais comme toute révolution technologique, l’IA soulève un grand nombre de questions.

IA et création : une révolution créative éthique possible ?

D’abord, la question de la créativité. Dans un monde où la technologie peut générer un texte, une image, un son ou même une vidéo en quelques secondes, à partir d’une simple consigne, appelée “prompt”… C’est la notion de création qui est remise en question. La distinction entre l’œuvre humaine et celle conçue par la machine devient floue, ouvrant une réflexion profonde sur la valeur de la création. Une valeur qui reposait autrefois largement sur l’idée et l’originalité de l’artiste.

Mais si l’on considère l’IA comme un nouvel outil qui accompagne l’humain dans son processus créatif, capable d’accélérer et d’enrichir la création, d’élever le niveau d’exigence, de repousser les limites de l’imagination, d’explorer des techniques auparavant inaccessibles, voire même de surpasser les capacités humaines, alors les perspectives sont immenses. L’enjeu est désormais de faire collaborer créativité humaine et artificielle pour concevoir des approches innovantes, tout en gardant une réflexion critique et une sensibilité humaine dans chaque projet. 

 

[Les Matinales] IA et création : développer votre créativité avec éthique

Nathalie Dupuy, directrice artistique, formatrice IA et fondatrice du magazine #IALS nous apprend à prompter intelligemment pour une création responsable.

IA et propriété intellectuelle : où sont les limites ?

La seconde question est celle du droit d’auteur. La majorité des IA génératives sont entraînées à partir de contenus existants, créés par les humains. Des créations pour lesquelles aucune autorisation n’a été demandée, ni droits d’auteur versés. Des artistes et ayant droits dénoncent l’exploitation illégale de leur œuvre, plusieurs actions en justice sont en cours. Le gouvernement européen s’est saisi de la question : depuis la publication de l’AI act, les fabricants d’IA sont désormais tenus de fournir un résumé détaillé des données utilisées en vue d’entraîner leurs modèles, afin que les droits d’auteur puissent s’appliquer. Même si la question est loin d’être réglée, une réflexion sur une forme de rémunération est en cours.

La question est maintenant de savoir qui détient les droits des contenus générés par l’IA ? Peut-on protéger juridiquement une création issue de l’IA ? Un annonceur peut-il revendiquer la propriété intellectuelle d’un logo, d’une image ou d’un texte généré par l’IA ? En théorie, la réponse est non. En Europe, la propriété intellectuelle repose sur la notion d’originalité et d’intervention humaine. En l’état actuel du droit, une œuvre créée par une IA n’est pas protégée par le droit d’auteur. Mais pour se protéger des risques juridiques, il existe quelques bonnes pratiques.  

 

[Les Matinales] IA et juridique : les bonnes pratiques pour une utilisation maîtrisée

Léa Puigmal, avocate spécialisée en digital & IA chez Mathias Avocats, explique comment innover et protéger ses créations sans enfreindre la loi.

IA et RSE : où est là responsabilité ?

Troisième enjeu, et pas des moindres : le défi environnemental posé par le boom de l’IA. Même si pour l’instant les émissions de gaz à effet de serre sont difficiles à évaluer, elles progressent à vitesse grand V. Et la course à la puissance de calcul ne fait que commencer. La phase d’entraînement (la plus gourmande) et l’utilisation de l’IA consomment de nombreuses ressources naturelles. De l’électricité d’abord, pour faire fonctionner les centres de données (datas centers), ces hangars remplis de serveurs qui se construisent partout aux Etats-Unis et en Europe. Mais aussi de l’eau, beaucoup d’eau, pour les refroidir. Et enfin des minerais rares pour fabriquer les composants informatiques : les puces, les microprocesseurs, les cartes graphiques. 

La sortie de l’Accord de Paris des géants de la tech en dit long sur l’impact de l’IA sur l’environnement. Désormais dispensé de ses engagements, Microsoft a augmenté ses émissions de CO2 de 29 % entre 2020 et 2023. Google de 48 % entre 2019 et 2023, selon les chiffres fournis par les entreprises. Face à ce défi, des entreprises tentent de créer une IA plus “frugale”, c’est-à-dire réclamant moins de ressources, à l’image de la société chinoise Deep Seek. 

 

[Les Matinales] IA et RSE : pour un usage de pleine conscience

Assaël Adary, auteur, conférencier et dirigeant du cabinet Occurence, dévoile l’impact écologique et sociétal des IA génératives.

IA et expérience client : vers une nouvelle ère du retail ?

Pour terminer sur une note positive et voir le bon côté de l’IA, nous vous proposons de regarder du côté de l’innovation et du retail, où la révolution est déjà bien en marche. Depuis quelques années, l’IA transforme la façon dont les marques et les entreprises interagissent avec leurs clients. En analysant les données, les comportements et les préférences, elle permet d’offrir une expérience client unique et sur-mesure à chaque individu. En centralisant les données clients sur tous les canaux de vente, les entreprises peuvent créer un parcours d’achat cohérent et sans friction. L’IA permet aussi de générer des recommandations, des publicités et des messages personnalisés, qui “parlent” directement au client et correspondent à ses attentes. Sans oublier les chatbots, qui jouent un rôle clé dans l’amélioration de la satisfaction client. 

Et ce n’est que le début. Chaque jour, des innovations continuent de transformer le monde du retail. Les détaillants utilisent désormais l’IA pour déterminer les tendances, prévoir la demande, optimiser la logistique, la gestion des stocks, détecter les fraudes ou encore lutter contre le gaspillage. 

 

[Les Matinales] IA et innovation : les nouveaux outils au service du retail 

Guilhem Bodin, associé chez Converteo, partage les innovations qui transforment le commerce.

Les Matinales

Voilà, dans les grandes lignes, les thèmes abordés pendant cette édition des Matinales. Une matinée gratuite et open source qui a été une belle occasion de se retrouver, d’échanger sans filtre, de poser les bonnes questions… Et de repartir avec des solutions concrètes.

Sources

https://www.francetvinfo.fr/internet/intelligence-artificielle/sommet-sur-l-ia-a-paris-l-article-a-lire-pour-comprendre-le-fonctionnement-de-l-intelligence-artificielle-et-les-multiples-enjeux-qui-l-entourent_7054448.html 

https://actu.ai/lintelligence-artificielle-remet-en-cause-les-fondements-de-la-creation-nature-valeur-diffusion-et-perception-repensees-13461.html 

https://bigmedia.bpifrance.fr/nos-dossiers/ia-propriete-intellectuelle-et-droits-dauteur-quels-enjeux-pour-les-entrepreneurs 

https://www.entreprises.gouv.fr/decryptages-de-nos-experts/intelligence-artificielle-en-entreprise-quels-impacts-environnementaux 

https://ia-lab.fr/secteurs-activites/ia-retail/

Webinar - Pourquoi choisir ComeBack pour créer, concevoir, produire et livrer vos PLV ?

Replay webinar – Pourquoi choisir une agence de production pour concevoir, fabriquer et livrer vos PLV ?

Publié le 17 mars 2025

Pour mettre en valeur votre marque et booster vos ventes, vous concevez différents types de PLV, comptoir, sol, totem, arche, 2D, 3D, distributrice de produits en mono ou multi-matériaux… qui transforment l’expérience d’achat dans vos points de vente.
Toutefois, vous souhaiteriez maximiser leur impact, améliorer vos process, et êtes à la recherche de la meilleure solution pour vous accompagner.

 

Avec ce webinar, disponible en replay, nous vous invitons à découvrir tous les avantages que vous trouveriez auprès d’un expert de la réalisation de PLV, plutôt que de commander en direct auprès d’un industriel.

Inscription au replay


Programme du webinar :

 

Nous partageons avec vous nos méthodes éprouvées pour garantir le succès de vos projets PLV, à travers trois étapes clés :

Un accompagnement de A à Z : conception, production, et gestion logistique

De l’analyse du brief jusqu’à la livraison, nous ferons le point sur la gestion de projets de PLV variées : PLV de sol, comptoirs, box palettes, balisage linéaire, théâtralisation d’espaces… Autant de supports déclinés sur une large gamme de matériaux (carton, bois, métal, etc.) pour répondre aux contraintes techniques et esthétiques.

Un exemple concret de théâtralisation pour une célèbre marque de produits pharmaceutiques illustre la variété des déclinaisons possibles.

Des stratégies d’achat optimisées : allier qualité, économies et délais maîtrisés

Une sélection rigoureuse des fabricants est effectuée, en fonction des spécificités du projet et de la localisation des livraisons. Nous revenons sur le processus de mise en compétition entre fournisseurs pour garantir le meilleur rapport qualité-prix, ainsi que sur l’inclusion des éléments RSE dans la stratégie d’achats.

Des solutions écoresponsables : pour une production durable et respectueuse de l’environnement

Afin d’inscrire la réalisation de PLV dans une démarche vertueuse, le choix d’une fabrication en Europe est privilégié, sur des matériaux durables. La réduction de l’utilisation des plastiques, tout comme les atouts des encres écologiques seront abordés, de même que les différentes façons d’optimiser le transport et la logistique. Nous voyons également comment recycler et réutiliser les PLV en fin de vie, pour de prochaines campagnes.

Un exemple de réalisation éco-conçue pour une marque réputée de produits de soins du corps permet de mettre en perspective cette approche, conforme aux principes de l’économie circulaire et de plus en plus plébiscitée par les annonceurs.

 

À bientôt,

      

L’équipe ComeBack

Obtenez votre place gratuite pour rencontrer ComeBack au salon le Shop!

Présence de ComeBack durant Shop! Le Salon

Publié le 25 février 2025

Du 25 au 27 mars, nous avions rendez-vous au Parc des Expositions, Porte de Versailles, lors de Shop! Le Salon, l’événement incontournable de la PLV et du retail en France.

Réunissant 130 exposants et des milliers de visiteurs, c’est le rendez-vous des marques, enseignes, agences, professionnels et experts du marketing points de vente souhaitant découvrir et partager les solutions les plus innovantes pour dynamiser leurs stratégies.

ComeBack était présent sur le stand E08 pour vous présenter ses solutions, conseils, stratégies de mise en place et de production de campagnes d’action retail 360°

Sur le stand étaient également présents les équipes Bee Happy, pour la conception/création et Eco Retail pour le copacking/logistique de nos productions, deux agences Afluens Group qui nous accompagnent au quotidien sur ces sujets.